On the road to Santa Elena

On the road to Santa Elena

Chahuté, secoué, ballotté sur un siège pété qui fait que basculer en arrière c’est donc avec un petit goût de terrain qu’il est possible de s’émerveiller de la beauté de la nature Costa ricaine. On passe une quantité de coline impressionnante, traversée de forêts, jungle , plaines et rivières. Le tout dans un bus qui couine et grince à tout va. Est-ce que c’est pas ça le bonheur? Des paysages idiliques et une certaine insouciance. Non probablement pas mais quand même c’est pas mal du tout.

Si déjà écrire est assez sportif prendre des photos est carrément impossible, il faudra donc faire preuve d’imagination. Traversée de villages, croisées de camion, le linge qui sèche dans les jardins, les plantes de café, les bananiers et les plantes magnifique d’un bordeau vif dont j’ai oublié le nom.

Parfois c’est un bout de la montagne qui a demerdé sur la route ça ne laisse que peu de place pour passer mais étonnement ça passe quand même. Sûrement une question d’habitude.

Du coup le nom Monteverde prend tout son sens. En effet toutes les collines sont vertes.


La poussière de la route par contre passe partout en quelques minutes on se trouve pané d’une fine couche de poussière blanche.

Leaving San Jose

Leaving San Jose

En marchant dans les rues de San Jose à 5h du matin deux choses me viennent à l’esprit.

1) arpenter les rues d’une ville aussi tôt c’est comme découvrir une femme au réveil, elle est vraie et naturelle. On découvre ses courbes avant qu’elles soient recouvertes pour la journée ou son caractère avant le premier café ou encore les petites imperfections avant que le maquillage ne recouvre tout.

2) le jour où on devra poser des wifi longue distance à Sans Jose vu la gueule de la topologie de la ville on va pas rigoler.